L’intérêt
manifesté par le plus grand nombre est de nature à s’inscrire
déjà dans la perspective 2003 avec un élargissement à
d’autres divisions francophiles de lycées tunisiens d’autres
gouvernorats. La croissance attendue du nombre de participants amène
cependant plusieurs problématiques :
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1.
Harmonisation des règles
d’évaluation pour maintenir l’esprit de
concours :
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Homogénéiser
l’évaluation nécessite une centralisation des
copies des établissements participants en vue
d’une correction collective dans un espace
commun en faisant appel à des professeurs d’économie-gestion,
des professeurs de lettres et des professeurs de
langues (anglais, arabe). Des statistiques établies
en 2002 sur des copies d’établissements différents
font état de disparités importantes.
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2.
Développement du
parrainage :
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La
logistique de parrainage habituelle a été
profondément bouleversée par les évènements de
septembre 2001. Elle oblige désormais à
rechercher des solutions locales pour pouvoir
honorer plus chichement les lauréats. Des
solutions sont peut-être à rechercher du côté
de la Chambre de Commerce et d’Industrie et
directement à destination d’entreprises françaises
implantées en Tunisie.
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3.
Mise en place d’un budget :
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En
l’absence d’un budget spécifique, la
quasi-totalité des dépenses occasionnées par le
concours (frais de transport et déplacements,
frais postaux et de télécommunications,
relations publiques et frais de douanes) a été
assumée par le coordonnateur du MOT D’OR…
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